L.A.S. « Vor Hugo », 11 janvier [1832], à Alphonse ESQUIROS; 1 page in-12, adresse (légère fente).
« Il faut, quoique à demi aveugle, Monsieur, que je vous écrive et que je vous remercie. Car vos vers sont encore plus beaux que mes yeux ne sont malades. Courage, travaillez ! »..
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